Un film que vous avez ni aimé ni pas aimé.
Pareil, pas enthousiasmé par "Inglorious...".
En fait le film m'aurait plu, si il n'y avait pas ce casting français comme vous dites, mais surtout cette entame qui dure des plombes... contrairerement à ce que Tarantino souhaitait, c'est pas du tout à la hauteur d'un début à la Leone (Once upon a time in the ouèst).
18 novembre 2009 à 11:26
Mutant Chronicles
Adapté d'un jeu de plateau des années 80 avec un casting relativement décent : Thomas Jane (The Punisher 2004), Ron Perlman (Le nom de la rose, Alien 4, HellBoy, Sons of Anarchy, etc.), Devon Aoki (Ex manequin au visage de poisson clown : Debs, Sin City, DOA : celui avec les gros nichons), John Malkovich(dans la peau de...). Un univers post-apocalyptique steampunk (bloqué à la 1ère guerre mondiale) dont des avions qui fonctionnant au charbon.
La guerre entre les gentils et les méchants a réveillé une armée endormie de nécro-cyborg, qui donc tue pour s'auto-générer. En plein exode planétaire (oui les fusées aussi sont au charbon), en échange des dernières places, un groupe de guerriers est constitué pour aller effectuer une mission suicide (Les 12 salopards, Les cannons de Navarone, etc.) aux sources du mal avec le rouage magique qui selon l'ancienne prophétie arrêtera la machine infernal. Un très joli nuancier entre le jaune papier journal, orangé rouille et gris poussière. Bien joué, pas trop laid, débile, manque furieusement de sexe, il y a même une scène pompée sur Quake 4 (celle de la transformation en cyborg), mais ça se regarde sans enthousiasme ni déplaisir. Faut aimer la SF fauché.
25 novembre 2009 à 14:53
Si tu trouves un moyen de générer des coups de grisou en permanence c'est jouable.
25 novembre 2009 à 15:53
C'est gentil de nous expliquer qui sont Ron Perlman ou John Malkovich.
25 novembre 2009 à 15:54
Mais quel pédant, je faisais de l'anti-élitisme en plaçant tout le monde au même niveau. C'est comme Lechat avec Michael Dudikoff tout le monde ne connait pas forcement.
Dernière modification le 25/11/09 à 16:20 par Akshell
25 novembre 2009 à 16:19
Bon faut avouer que Ron Perlman c'est un peu le mec dont tu as vu la gueule partout mais que tu sais pas comment il s'appelle.
25 novembre 2009 à 17:11
Alors que s'il avait fait un "Dans la peau de Ron Perlman" on s'en souviendrait !
25 novembre 2009 à 17:22
Star Trek. Encore une fois j'ai voulu "mettre mon cerveau au placard" pour me distraire.
Ni vraiment nul ni vraiment bon. Spock, ridicule mais pas trop. Kirk en vieil ado énervant mais pas trop, etc...
Il ne se passe ni vraiment rien; ni vraiment quelque-chose.
Bof quoi.
30 novembre 2009 à 09:17
Crows Zero, de Takashi Miike. Une bande de lycéens se battent pour prendre le contrôle de leur établissement au système éducatif plutôt défaillant... C'est typiquement jap' : des coupes de cheveux totalement improbables, des tentatives d'humour mal placées ("oh I jeezed in my pants lolol"), une chanteuse (fort jolie au demeurant) qui se met à faire de la J-pop en plein milieu du combat final, qui dure toute une journée d'ailleurs si l'on en croit l'alternance nuit-lever de soleil-nuit...
30 novembre 2009 à 10:25
Flags of hour fathers/Mémoires de nos pères
Les rares accrochages manquent d'énergie/rythme ce qui est dommage car la lisibilité immédiate des combats était assez bien rendu.
Je m'attendais à mieux mais je suis assez déçus.
Sans le trouver mauvais, je le trouve fade.
[Spoiler explication pavé]
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Dans un soucis d'exhaustivité, Eastwood est, à mon gout, partit sur une trame trop cloisonné. Il a fait le choix d'un traitement trop fragmentaire/analytique des différents sujets abordés (montrer la dureté des combats, les dessous d'une propagande, la fraternité existant entre les soldats, le décalage que certains soldat ont ressentis à leur retour à la vie civile).
Moins hasardeux pour la compréhension du récit, ce choix, facile, se fait pourtant au détriment de la substance des choses.
Le meilleur exemple de cet échec est à mon sens celui de la "fraternité entre les soldats".
Érigé en valeur fondamentale à la fin du film, elle ne repose sur rien de bien tangible dans le film :
Que sait'on des soldats tombés ?
Quel attachement as t'on avec eux ? Personnellement, aucun.
Là ou dans Soldat Ryan ou Black Hawk Down les événements nous permettaient d'en connaitre plus sur ces hommes, ici on ne voit ou n'identifie rien.
Exemple :
"Ah tient, le pauvre HANK (interprété par Paul Walker pour ceux qui ne l'auraient pas reconnu pendant les 2,1 séquences ou on le voit) est mort et on l'as vu dans quelle scène déjà ?!
Et c'était le pote à qui ?"
1 minute later
BOOOM,
"Merde machin est mort !"
1,30 minute later :
Bam bam bam bam,
"Oh non bidule s'est prit une balle. Merde, merde merde merde !!!
- C'était qui bidule ?
- Ben tu sais bien, le pote à machin qu'on voit passer à l'arrière plan pendant 30s
- Ah ouais ! Dur pour lui, il va me manquer
- Ouais, pour sur Negro !"
30 minutes later :
Ah merde, y'a Iggy qu'a disparu dans un tunnel. Merde alors, parait que c'était le pote au Doc dans la scène précédente. Il semblait y être vaguement attaché..."
-------------
Bref, beaucoup de choses trop brièvement suggérées et uniquement posées là pour servir de jalon à d'autres facettes de l'histoire.
Que dire d'ailleurs des rôles anecdotiques donnés à Robert Patrick (Le colonel) et Neal McDonough (Le Capitaine).
Trois scènes minables ne laissant pas paraitre grand chose, là ou dans La ligne Rouge le rôle du général arriviste confié à Travolta est sublimé en quelques secondes d'apparition tant le cadre.
La liberté donné à l'acteur et le contexte étant ici mieux géré/filmés.
Même le personnage de Clooney pourtant microscopique dans ce dernier film a plus de poids que nos 2 malheureux (Certes c'est par la tirade de Sean Penn, mais le symbole qu'il incarne a bien plus de puissance qu'un colonel demandant laconiquement d'accrocher un drapeaux en haut d'une colline...).
Ainsi Eastwood réussit il le parie de donner à pratiquement tous ses acteurs des rôles fantomatiques.
Seul Adam Beach et Ryan Phillippe sortent bien évidemment un peu du lot mais semblent eux aussi victime de ce manque de "matière".
Bref, pour moi Clint a voulut décrire dans son film un fait de guerre dans son entier mais à trop compartimenté son récit, il en a retiré l'âme.
Dernière modification le 05/12/09 à 17:32 par CAPTN_CAVERN
05 decembre 2009 à 17:30
Le second volet est bien mieux à mon gout, c'est un ovni du film de guerre.
06 decembre 2009 à 15:13
Je prends note.
06 decembre 2009 à 17:01
Je n'ai pas vu le premier mais je confirme que le second est très bien.
06 decembre 2009 à 19:26
Zombieland.
pourquoi les critiques sont elles aussi +++ ? je vois vraiment pas.
Rien de nouveau sur la survie, pas aussi hilarant que signalé. Pas un navet, mais vraiment rien d'exceptionnel.
c'est UNE BOUSE.
mais non, voyons.
06 decembre 2009 à 20:47
The Dead Girl. Un film à épisodes dans la veine de Short Cuts/21 Grams/Crash. Chaque volet s'intéresse à une femme dont la vie est bouleversée par la mort d'une jeune femme, énième victime d'un tueur en série.
C'est beau, pas mal joué, par contre je trouve que les morceaux d'histoires ne servent pas vraiment de trame principale forte et ça tue un peu l'intérêt du film. On a un peu l'impression d'aller nulle-part.
We Own the Night. Bonne première partie mais dès qu'on passe à la vengeance du fils, ça devient brouillon et pataud.
07 decembre 2009 à 09:21
Akshell a écrit
Mutant Chronicles
Adapté d'un jeu de plateau des années 80 avec un casting relativement décent : Thomas Jane (The Punisher 2004), Ron Perlman (Le nom de la rose, Alien 4, HellBoy, Sons of Anarchy, etc.), Devon Aoki (Ex manequin au visage de poisson clown : Debs, Sin City, DOA : celui avec les gros nichons), John Malkovich(dans la peau de...). Un univers post-apocalyptique steampunk (bloqué à la 1ère guerre mondiale) dont des avions qui fonctionnant au charbon.
La guerre entre les gentils et les méchants a réveillé une armée endormie de nécro-cyborg, qui donc tue pour s'auto-générer. En plein exode planétaire (oui les fusées aussi sont au charbon), en échange des dernières places, un groupe de guerriers est constitué pour aller effectuer une mission suicide (Les 12 salopards, Les cannons de Navarone, etc.) aux sources du mal avec le rouage magique qui selon l'ancienne prophétie arrêtera la machine infernal. Un très joli nuancier entre le jaune papier journal, orangé rouille et gris poussière. Bien joué, pas trop laid, débile, manque furieusement de sexe, il y a même une scène pompée sur Quake 4 (celle de la transformation en cyborg), mais ça se regarde sans enthousiasme ni déplaisir. Faut aimer la SF fauché.
Je l'ai regardé ce WE, et j'ai bien aimé ! Certes les acteurs sont inégaux, le scénario est assez prévisible, mais l'univers dark-steampunk est sympa.
07 decembre 2009 à 10:18
"Farmhouse", qui serait un bon un p'tit slasher de plus s'il n'était pas un peu gâché par une fin wtf et dans le genre un peu convenue ( pour ça je préfère "Dead end", meilleur et asssez drôle en plus). Cela dit ça reste un bon flim, où les victimes ne sont pas aussi innocentes qu'il ni parait.
Dernière modification le 17/12/09 à 16:27 par compote
17 decembre 2009 à 16:26
Pandorum, un film de SF-Gore, machin et bidule se réveillent dans un vaisseau spatial après un long sommeil artificiel, c'est leur tour de garde mais il n'y a personne pour les accueillir et plus rien ne fonctionne. Pendant que machin va tenter de réparer le réacteur aidé de Conan le barbare et Catwoman, il doit affronté des gollums cannibales ; bidule lui se débat avec un lieutenant souffrant du syndrome Pandorum (parano et schizophrénie) pour découvrir ce qu'il s'est réellement passé.
Basé sur le concept du twist again à zombieland, des rebondissements-ultra prévisibles ressemblant tellement à tout que ça ne ressemble plus à rien : Aboslum 2022, Mad Max, Ghosts of Mars, Event Horizon ou même Dead Space. Mais bon, ça reste un bon divertissement malgré les incohérences du scénario.
28 decembre 2009 à 14:37
Si tu en trouves de la bonne faut prévenir en attendant je prends ce qui traine.
28 decembre 2009 à 16:17
Sérieusement le dernier bon film de SF/horreur que j'ai vu c'est Sunshine, et même le meilleur film de SF depuis très longtemps.
À part peut-être Moon qui était très réussi.
28 decembre 2009 à 21:51
En récent tu as aussi District 9, La Route ou encore Repo! The Genetic Opera.
29 decembre 2009 à 09:08
Ouais, le début de District 9 était sympa (à un moment, ça tourne au nawak complet, dommage). Il faut que je voie Moon dont j'ai entendu du bien (tu l'as vu Akshell ?).
La Route, il paraît que c'est encore plus mauvais que le bouquin donc on va s'en passer.
29 decembre 2009 à 10:23
Avatar. A part les sfx le scénar tient sur un timbre poste. C'est pas nouveau mais y'a vraiment des mégalos à hollywwood...
13 janvier 2010 à 18:44
Doomsday, ce film est une vaste blague faite de gros copier-coller :
0h00-0h06 : Resident Evil (contamination, évacuation, émeute, fermeture du mur)
0h06-0h08 : New York 1997 (la présentation de l'ile)
0h09-0h11 : Navy Seals (ou n'importe quel film de commandos prenant d'assaut un bateau)
0h11-0h42 : Aliens (du recrutement de Ripley, la préparation, le débarquement, la charge avec le tank, l'attaque des aliens (ici des punks), la fuite avec le tank)
0h42-1h00 : New York 1997 ou Warriors ou Mad Max 3 ou encore un vieux clip d'INXS dont je ne me souviens plus du titre, avec juste un petit emprunt du barbecue vivant de Silent Hill le tout en musique avec les Fine Young Cannibals.
1h01-1h25 : King Arthur ou n'importe quel film médiéval, bien que scénaristiquement ce soit plutôt pompé sur la tentative d'évasion au début du retour du Jedi. Avec juste un petit intermède entre (1h10-1h12 reprenant une scène de Land of the Dead quand les zombies atteignent la tour).
1h25-1h34 : Mad Max (la poursuite final)
1h34-1h40 : Los Angeles 2013 (la fin)
1h40-1h42 : La j'hésite, je dirais peut-être Greystoke avec le retour de tarzan chez les singes.
Le tout sans transitions et avec les incohérences inhérentes aux différents univers empruntés.
p.s. : j'ai pas réussi à caser la fuite en locomotive à vapeur entre 1h et 1h01, mais bon on va pas chipoter non plus.
Et l'héroïne possède le même œil mécanique que Garrett dans Thief, je ne suis pas sur d'avoir déjà vu ça dans un film.
Dernière modification le 15/01/10 à 03:56 par Akshell
15 janvier 2010 à 03:39
Je l'avais regardé un soir de fatigue et le sentiment prenant de WTF m'a tenu éveillé jusqu'au bout. C'est aussi le jour où j'ai perdu foi en l'humanité et où j'ai commencé à l'amputer, un membre par nuit.
15 janvier 2010 à 10:30
J'avais bien aimé, c'est exactement ce à quoi je m'attendais.
15 janvier 2010 à 10:40
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