Cyp a écrit
Batman (le dernier)
kaplan a écrit
T'as bien aimé cette bouse ?
Mis à part deux-trois passages over the top (la batmoto et le batsonar, moins crédibles que l'extraction à hong kong, fallait faire fort), je l'ai trouvé très bon. Il a le mérite d'essayer de distiller ce brin d'intelligence qui manque à beaucoup de blockbusters.
Sauf qu'il faut aussi enlever les passages où il y a le Joker vu que l'acteur est absolument insupportable tellement il en fait des tonnes.
Du coup, il ne reste pas grand chose (rien en fait).
Pfff vous êtes des nazis aigris c'est tout.
kaplan a écrit
Sauf qu'il faut aussi enlever les passages où il y a le Joker vu que l'acteur est absolument insupportable tellement il en fait des tonnes.
Du coup, il ne reste pas grand chose (rien en fait).
Le film n'est pas très réussi pour sa longueur, 2h30, quelques moments forts mais au bout de 2h (le retournement de dent) tu as justes envie de te casser, et paf rebondissement et on repart pour un tour, la faute est d'avoir voulu absolument conclure alors qu'il n'y a nul besoin. Le duel Batman / Joker n'a aucune intensité, on se fout de ce que ressent Batman (Christian Bale totalement transparent). Après tu peux foutre deux, trois scènes réussi, le casse d'intro (qui fait penser à Mann) par exemple, ça sauve pas un film.
On est loin de Mann qui est capable de faire monter la pression crescendo et rend l'affrontement final obligatoire : Heat ou Collateral.
Akshell a écrit
On est loin de Mann qui est capable de faire monter la pression crescendo et rend l'affrontement final obligatoire : Heat ou Collateral.
c'est peut-être celui où ça marche le moins bien parce que le cœur de l'intrigue est l'histoire d'amour.
Ca se regarde, mais bon dieu y'a une grosse demi heure de trop, et Batman, malgré Bale, à le charisme d'une huitre...
Remarque aucun metteur en scène et aucun acteur n'a réussi à bien rendre Batman à l'écran. Les méchants sont parfois réussis (j'ai adoré Ledger), mais Batman quel gros naze quand tu le compares à ce qu'il est dans les meilleures BD...
Sans compter "la grosse pute moche"©
The Gene Generation
Un pute, pardon une chasseuse de prime habillée en pute, jouée par Ling Bai (Taxi 3 : le role de la pute l'espionne chinoise, Die Another Day : Le role de la putel'offier nord coréen dans la scène SM qui sert d'intro), (qui réussi l'exploit à près de 40 ans de garder un look de pornstar de 25 ans), qui donc chasse des... êtres humains dans les bas fond d'une ville dépotoir pour payer son billet de passage vers la ville haute (où tous n'est que luxe, etc.) pour elle et son petit frère qui lui fait tout pour se tomber dans les emmerdes (y compris une scène urophile avec un vieux) avec son meilleur pote geek petit gros trouillard. Un casting improbable Robert David Hall (le médecin légiste cul-de-jatte de CSI Las Vegas), Faye Dunaway (WTF ?) en femme serpent sans corps. Des effets spéciaux à tomber par terre de rire, en fait un seul celui de serpents grouillants à l'aspect de tube en plastique. Et une musique d'une très rare finesse (Combichrist de la techno hardcore à base de bruit de machine à laver « this shit will fuck you up ! » aucun titre n'aura été aussi vrai.). Et il y a une scène de douche, avec la p..., enfin sans pipi je veux dire.
Une idée de base ultra-repompée : Le chasseur de prime sur son dernier contrat pour gagner sa place vers un monde meilleur dans un univers cyberpunk (Blade Runner, Gunnm, etc.) Un jeu d'acteur inexistant, une maitrise de la caméra inégalée (il ne tremble presque pas), des couleurs qui oscillent entre le jaune pisseux et le vert caca d'oie, on frole même le dogme de Lars von Trier tellement l'éclairage est inexistant, les décors naturels (décharge).
Un trailer pour vous en convaincre.
La vraie question c'est comment tu en es arrivé à regarder ça.
Le coté film maudit qui a faillit ne jamais sortir, la prétention du réalisateur, l'envie de voir Ling Bai dans un premier rôle, le thème cyberpunk qui promettait d'être original, la musique de merde techno... Non j'ai vraiment mérité cette épreuve.
2012. Un scénario inexistant, des personnages vides, des situations abusées à n'en plus finir.
Synopsis : un écrivain divorcé cherche à échapper à la fin du monde. On se demande bien pourquoi vu qu'il est manifestement invincible.
D'ailleurs une question pour les physiciens qui ont vu ce film :
Tout à fait.
Le fait que les super tankers arrêtent leurs moteurs plusieurs kilomètres avant d'arriver au port illustre bien ton propos et le fait que ce film est une sombre merde.
Gamer. Le thème et le fait que ce soit réalisé par le duo de Crank me faisaient vaguement espérer un truc bien, mais en fait c'est juste une sombre daube.
Good Morning England. A la base, j'avais l'espoire de retrouver les sensations de Pump Up The Volume qui m'avait bien fait triper à l'époque ( Adolescence, les interdits bafoués, etc...).
Alors que le sujet est prometteur, l'ensemble du film reste très plat à mon gout.
La route
Aucun intérêt. Film complètement vide, et je ne parle même pas de la fin.
Je cherche encore l'intérêt du livre. On m'a tellement rabâché les oreilles avec, j'ai vraiment pas du saisir le sens caché derrière.
C'est ce que je me tue à répéter ici depuis un an... Dans mes bras, Condiment Exotique !
LEGION : Je ne sais pas trop quoi dire. C'est d'une nullité sans nom.
Ninja assassin. Bon j'en attendais pas grand chose, j'ai bien fait.
Toi aussi tu as aimé cette sensation de déjà-vu permanente ?
Il y a de ça, ainsi que le coté profondément raciste, les na'vi ne sont pas seulement anthropomorphisés, ils sont une grotesque caricature de tribu africaine avec dans les rôles principaux : 3 noirs (gourdasse, maman, le petit-ami) et un indien (le père), tous parlant petit-nègre, vivant dans leur baobab géant.
L'alibi SF est une simple translation, pauvrement réalisé sans adaptation.
D'ailleurs le concept de réincarnation dans les arbres même s'il est plus ancien, ainsi que la confrontation avec les colonisateurs est directement pompé sur La Voix des morts, tome 2 du cycle d'Ender de Orson Scott Card, qui en 1989 avait écrit la novélisation d'Abyss, film de... James Cameron.
Tu oublies le message de justification de la guerre -
A part ça moi je me suis pas ennuyé devant. Long oui, grotesque un peu, script déja vu 1000 fois oui, Pocahontas en live oui, mais chiant non.
Vous devez être identifié pour participer à ce topic.