A ce sujet, il va y avoir un remake d'Old boy par Spike Lee : url : http://www.deadline.com/2011/07/spike-lee-to-direct-oldboy-for-mandate-pictures/
12 juillet 2011 à 08:46
On devrait couper la main gauche à tous ces connards d'Hollywood qui font des remakes de films ou de séries.
12 juillet 2011 à 10:01
Source Code, du fiston Bowie (qui avait déja fait le bon Moon): vraiment pas mal du tout si on accepte les légères incohérences du scénario.
19 juillet 2011 à 09:36
Ouaip je confirme pour Source Code, un chouette thriller.
19 juillet 2011 à 11:06
Gingembre a écrit
Ouaip je confirme pour Source Code, un chouette thriller.
Tiens c'est ça que j'ai oublié que j'avais vu ce weekend ! Merci.
Sympathique mais j'aime pas du tout la fin.
J'avais lu le scenario, puisque à une époque le mec était sur la blacklist (les meilleurs scenarios pas acquis par un studio) et que son truc trainait sur le web.
Lu comme vu ça me fait penser à : cette série où le mec a 1 semaine pour changer un truc, ou le film Déjà Vu, ou plein d'autres trucs...
Sans le côté humain du personnage et son état, j'aurais trouvé ça vraiment médiocre.
19 juillet 2011 à 13:55
Kuro a écrit
cette série où le mec a 1 semaine pour changer un truc
Code Quantum ?
19 juillet 2011 à 13:57
url : http://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=3574.html
c'était assez naze
19 juillet 2011 à 14:03
edit : grillé par Akshell.
Non une autre, vraiment pourrie où c'est un militaire dingo qui est effectivement, physiquement renvoyé 1 semaine en arrière pour empêcher des attentats, retrouver le chien du président, etc... Après une recherche google, j'ai trouvé, c'est Sept jours pour agir.
Dernière modification le 19/07/11 à 14:07 par Kuro
19 juillet 2011 à 14:06
Nick&Norah's Infinite Playlist (2008)
Parce que les acteurs sont très bons, la bande-son excellente, et que ça parle d'Amour avec un grand A et Kat Dennings.
19 juillet 2011 à 22:34
Kuro a écritCeacy a écrit
J'ai recontré le diable.
Scénario et film excellents, mais d'un gore à faire passer Al pour un imposteur.
Mmmm... Les coréens et les marteaux (outil), une histoire d'amour.
Hwanghae (aka the yellow sea aka The Murderer) devrait vous plaire; le marteau étant juste remplacé par les armes blanches, fait-tout, os de boeuf...
Encore une grosse claque, livrée par le réalisateur de The Chaser dont j'ai surtout adoré les deux premiers tiers, trépidants en diable.
Couvert de dettes, un coréen se voit confier une mission en Chine par un caïd à qui justement il doit des sous. Celui-ci lui promet également de l'aider à retrouver sa femme.
Cette mission, qu'il va accepter : attention spoiler
Spoiler : afficher/masquer
Merci, le titre français à la con !
Malgré des relents classiques (le mythe du joueur), la solide mise en place du début dépeint un magnifique loser. A cause de sous-titres approximatifs, une partie de l'intrigue, certains tenants et aboutissants, m'ont sévèrement échappé.
Quand, en plus, ça s'étire en longueur (plus de 2h30 quand même) et en hauteur au niveau de la violence, moi, j'ai eu tendance à lâcher.
Mais les poursuites, quel monumental pied !
Dernière modification le 21/07/11 à 00:04 par KtuLulu
21 juillet 2011 à 00:01
KtuLulu a écrit
Encore une grosse claque, livrée par le réalisateur de The Chaser dont j'ai surtout adoré les deux premiers tiers, trépidants en diable.
Ah merci, je vais essayer de voir ça !
21 juillet 2011 à 00:04
Ceacy a écrit
J'ai recontré le diable.
Scénario et film excellents, mais d'un gore à faire passer Al pour un imposteur.
Ktu appuie cet avis avec une mention spéciale pour les deux acteurs.
21 juillet 2011 à 11:59
et donc : url : http://www.vodkaster.com/actu-cine/La-grande-imposture-d-un-certain-cinema-coreen-1202
22 juillet 2011 à 20:49
Akshell a écrit
et donc : url : http://www.vodkaster.com/actu-cine/La-grande-imposture-d-un-certain-cinema-coreen-1202
d'accord avec ce connard, d'accord avec son avis définitif et sa parole d'évangile qui ont convaincu, conquis et converti mes goûts.
"Petit état des lieux d'un cinéma qui se mange la queue" : le mec sort 5 films d'un genre (qu'il n'aime pas) de sa manche et il les exhibe sur la place publique, tels des garrotés pour l'exemple.
"En plus de ces effets de manche faciles et putassiers, excusables car se bornant à des intentions malhabiles" : vivement qu'un critique de plus se foute derrière la caméra, histoire qu'on rigole avec son grand cinéma.
Et dans sa brillante démonstration, il omet de causer d'une certaine tendance du cinéma coréen à faire du Woochi, foutraque blockbuster d'esbrouffe aérien(ne).
Quel naze !
23 juillet 2011 à 02:29
Diantre, vous voilà bien émoustillé mon bon!
Par contre attention au piège trop facile: vivement qu'un critique de plus se foute derrière la caméra. Ca ne tient pas la route ça monsieur Poulpor. Un excès de gingembre surement.
23 juillet 2011 à 03:05
Oh, t'inquiète, c'est juste pour faire plaisir à Akshell.
23 juillet 2011 à 03:15
Ben, en gros, il a pas tort.
Park Chan-wook est un cinéaste de l'esbrouffe et sans grand intérêt.
Et il défend les deux grands du cinéma coréen actuel Bong Joon-ho (évidemment) mais surtout Hong Sang-soo, un Truffaut aux yeux bridés.
En gros, il a bon gout le gars ;)
23 juillet 2011 à 06:57
C'est gentil, merci, arriver à troller les films coréens sans les voir, et maintenant sans même se faire chier à argumenter, c'est priceless.
Bien que l'argumentation en particulier ait l'air fallacieuse, machin y met plus de sentiment que truc qui lui est totalement gratuit. Qu'un genre finisse par s'essouffler est inévitable, comme au japon avec les ring-like ou aux USA avec le gore gratuit façon Saw/Hostel, le tour du truc a été fait depuis longtemps.
KtuLulu a écrit
Malgré des relents classiques [...] Quand, en plus, ça s'étire en longueur [...] moi, j'ai eu tendance à lâcher.
Donc on est d'accord :p
23 juillet 2011 à 11:25
Qu'un genre s'essouffle à force d'être usé jusqu'à la corde, ok, normal.
Banalité : tant que le genre sera rentable, des réalisateurs continueront d'en faire. Pas besoin d'être un érudit pour se rendre compte qu'il y a des cycles dans le cinéma: westerns, comédies musicales, 3D, héroïc fantasy, slashers, torture porn... des genres qui disparaissent dans un gouffre excrémental et réapparaissent 10 ou 20 ans plus tard ornés de quelques perles.
Les deux films, objets de cette discussion, à savoir The Murderer et J'ai rencontré le diable, ne manquent pourtant pas de souffle.
Je ne renie pas le fait qu'ils aient des défauts. Tester le public sur sa résistance à la violence, suis pas trop fan non plus du concept.
Mais ils présentent aussi de sacrées qualités, une densité, une tension dans leurs scènes d'action qui te tient, des personnages plutôt bien définis, des plages de calme pas inintéressantes.
M'enfin, on en rediscutera peut-être quand tu ne les auras toujours pas vu.
23 juillet 2011 à 13:53
Très bon flime (un classique).
Dernière modification le 23/07/11 à 14:34 par kaplan
23 juillet 2011 à 14:34
Hanna qui combine 2 genres éculés :
* un génie isolé du monde est finalement livré à lui-même et poursuivi pas des méchants nazis pour des raisons qu'il ignore,
* un tueur/espion de talent est poursuivi pas des méchants comploteurs extra-gouvernementaux pour des raisons qu'il ignore.
Donc là, c'est Hanna, élevée par un papa espion dans un coin paumé de la Scandinavie et qui clame à 15 ans son droit à l'émancipation, sachant qu'elle devra comme son papa l'y a préparée, flinguer une méchante espionne rousse américaine.
Comme ça, ça donne pas très envie, mais le traitement visuel de la chose, qui vire parfois à l'expérimental, rattrape les clichés très assumés du reste du film.
Dernière modification le 25/07/11 à 17:08 par Kuro
25 juillet 2011 à 17:07
kaplan a écrit
Très bon flime (un classique).
Tiens d'ailleurs, y a du c/v dans l'air.
26 juillet 2011 à 18:44
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