Les journées du Libre à Rennes - 17/18/19 avril 2007
news de JustineF
, publié le 14 avril 2007 à 21:28
Quake revient
news de .reprocessed
, publié le 03 avril 2007 à 20:04
Allez, viens, petit petit petit...Le château de Shambler
Shambler's Castle pour Doom 3 est sorti: c'est un mod inspiré de Quake, avec une seule carte de 20 à 30 minutes, 5 nouveaux monstres issus de Quake 1, les armes et les sons originaux (hache, shotgun, nailgun, grenade launcher) et une nouvelle musique. Ca marche sous windows, linux (qui est bien gâté en ce moment avec aussi Penumbra et Vdrift).
C'est tout l'inverse de Doom 3, on fonce, on tire, on straffe, pas besoin de lampe torche, ni de crosshair d'ailleurs... La musique rock-industriel y fait beaucoup pour l'ambiance (mais faut aimer). Les effets visuels sont superbes: portails, éclairs, tremblements... et entraînent quelques ralentissements mais rien de grave.
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«Then we will fight in the shade.»
article de Ceacy
, publié le 25 mars 2007 à 04:58
Venez découvrir un film calme, tolérant : 300 surhommes bien de chez nous qui pourfendent l'ennemi barbare et perfide venu des tréfonds de l'Étranger, durant deux heures.
Il y a même des éléphants.
Tout d'abord, une petite précision : j'ai découvert Frank Miller avec Sin City ; après avoir récupéré et lu les bandes dessinées à l'origine du film, j'ai continué avec The Dark Knight Returns et The Dark Night Strikes Again, avant de lire finalement 300.
Le but de cet article n'est pas de faire la critique de ces bandes dessinées, donc je n'en parlerai que brièvement : elles sont magnifiques. En tant que jeune impressionnable, l'esprit même des ces graphic novels m'a séduit : héros charismatiques, prêts à mourir pour leurs idées et idéaux, lutte du bien contre le mal. Ce qui est plus intéressant encore dedans, c'est que justement, même les personnages en noir et blanc ont des nuances de gris. Batman, pour ne citer que lui, a des relents un peu inquiétants.
On pourrait aussi s'étendre sur le côté graphique, qui est tout simplement magnifique : entre les couleurs de 300 et les ombres de Sin City, ces bandes dessinées ont un côté bluffant - même pour moi qui passe souvent un peu par-dessus les dessins pour suivre l'histoire.
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Il y a même des éléphants.
Tout d'abord, une petite précision : j'ai découvert Frank Miller avec Sin City ; après avoir récupéré et lu les bandes dessinées à l'origine du film, j'ai continué avec The Dark Knight Returns et The Dark Night Strikes Again, avant de lire finalement 300.
Le but de cet article n'est pas de faire la critique de ces bandes dessinées, donc je n'en parlerai que brièvement : elles sont magnifiques. En tant que jeune impressionnable, l'esprit même des ces graphic novels m'a séduit : héros charismatiques, prêts à mourir pour leurs idées et idéaux, lutte du bien contre le mal. Ce qui est plus intéressant encore dedans, c'est que justement, même les personnages en noir et blanc ont des nuances de gris. Batman, pour ne citer que lui, a des relents un peu inquiétants.
On pourrait aussi s'étendre sur le côté graphique, qui est tout simplement magnifique : entre les couleurs de 300 et les ombres de Sin City, ces bandes dessinées ont un côté bluffant - même pour moi qui passe souvent un peu par-dessus les dessins pour suivre l'histoire.
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J'ai testé pour vous : Teenage Mutant Ninja Turtles
news de Def
, publié le 22 mars 2007 à 11:26
On pourra tout d'abord se demander quelle folie passagère m'a fait jouer à ce jeu. J'avais vraiment plus rien à me mettre sous la dent donc...
Bref, venons en au jeu. Nous avons donc sous les yeux un clone des derniers Prince of Persia mais en version tortues ninja. Phase de plateformes ponctuées de quelques combats et un joli boss à la fin du niveau. On ne joue qu'une seule tortue mais on peut la changer à tout moment.
Commençons par la partie plateformes, de loin la moins ratée du jeu. C'est vraiment du Prince of Persia : sauter, courir sur les murs, se balancer sur des barres, s'agripper aux corniches,... tout y est. Ce serait presque amusant si on pouvait négliger un point : cette putain de caméra de merde !
Il faut savoir, pour bien comprendre à quelle point c'est mal fichu, que l'on déplace notre tortue par rapport à la caméra. Donc si elle fait un quart de tour dans un sens quelconque, les touches de déplacements aussi et celle qui nous servait par exemple pour aller à gauche nous fera cette fois aller tout droit. Le problème c'est que le caméraman est un bigre d'idiot doublé d'un alcoolique fini. Je vous laisse imaginer le plaisir de sauter d'immeuble en immeuble avec une caméra qui va nous faire des demi tours juste avant le saut et conclure en un sblaf de tortue écrasée 30m plus bas. Frustrant. Elle nous offre aussi des conneries pures comme les sauts sur des plateformes hors du champs de vision ou une lenteur à prendre les angles ce qui fait sortir la tortue de l'écran dans les virages trop serrés.
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Bref, venons en au jeu. Nous avons donc sous les yeux un clone des derniers Prince of Persia mais en version tortues ninja. Phase de plateformes ponctuées de quelques combats et un joli boss à la fin du niveau. On ne joue qu'une seule tortue mais on peut la changer à tout moment.
Commençons par la partie plateformes, de loin la moins ratée du jeu. C'est vraiment du Prince of Persia : sauter, courir sur les murs, se balancer sur des barres, s'agripper aux corniches,... tout y est. Ce serait presque amusant si on pouvait négliger un point : cette putain de caméra de merde !
Il faut savoir, pour bien comprendre à quelle point c'est mal fichu, que l'on déplace notre tortue par rapport à la caméra. Donc si elle fait un quart de tour dans un sens quelconque, les touches de déplacements aussi et celle qui nous servait par exemple pour aller à gauche nous fera cette fois aller tout droit. Le problème c'est que le caméraman est un bigre d'idiot doublé d'un alcoolique fini. Je vous laisse imaginer le plaisir de sauter d'immeuble en immeuble avec une caméra qui va nous faire des demi tours juste avant le saut et conclure en un sblaf de tortue écrasée 30m plus bas. Frustrant. Elle nous offre aussi des conneries pures comme les sauts sur des plateformes hors du champs de vision ou une lenteur à prendre les angles ce qui fait sortir la tortue de l'écran dans les virages trop serrés.
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Vu qu'il pleut et que l'on se fait tous chier
article de carwin
, publié le 21 mars 2007 à 21:07
Balélec 07
article de Curare
, publié le 16 mars 2007 à 19:14
Le 25 mai 2007, à l'epfl, c'est Balélec qui commence !
Le festival est né il y en 1981 en tant que bal de la section d'électricité de l'École polytechnique fédérale de Lausanne et réunissait environ 500 personnes. Il se développa au fil des années pour atteindre les 18000 personnes. C'est actuellement un événement incontournable de la vie estudiantine et musicale de la région de Lausanne.
Radiohead, K's Choice, Nada Surf, Urban Species, Dolly, New Model Army, Archive, Sinsemilia, Mass Hysteria, Starsailor, Eskobar, Skirt, James Taylor Quartet, Silmarils, Ash, Mass Hysteria, Daisybox, Pleymo, Bauchklang, Enhancer, Youssou N'Dour, Marcel et son orchestre, Les Caméléons, Burning heads, Akamassa, Asian Dub Foundation, Liquido, ainsi que d'innombrables groupes plus locaux s'y sont produits.
Cette année, Balélec c'est 30 concerts sur 7 scènes sur le site de l'école, en un seul soir. Beaucoup citent l'événement comme étant le plus grand festival d'un soir d'Europe. Balélec c'est aussi 19 bars (principalement tenus par des associations d'étudiants) ayant chacun leur propre ambiance bien particulière. Balélec, c'est aussi une énorme effort en matière d'écologie avec de la vaisselle compostable, des gobelets et canettes consignées, des cendriers portables distribués gratuitement aux festivaliers et des transports publics gratuits. Ces efforts débouchent sur une certification iso 14001 pour le festival.
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Le festival est né il y en 1981 en tant que bal de la section d'électricité de l'École polytechnique fédérale de Lausanne et réunissait environ 500 personnes. Il se développa au fil des années pour atteindre les 18000 personnes. C'est actuellement un événement incontournable de la vie estudiantine et musicale de la région de Lausanne.
Radiohead, K's Choice, Nada Surf, Urban Species, Dolly, New Model Army, Archive, Sinsemilia, Mass Hysteria, Starsailor, Eskobar, Skirt, James Taylor Quartet, Silmarils, Ash, Mass Hysteria, Daisybox, Pleymo, Bauchklang, Enhancer, Youssou N'Dour, Marcel et son orchestre, Les Caméléons, Burning heads, Akamassa, Asian Dub Foundation, Liquido, ainsi que d'innombrables groupes plus locaux s'y sont produits.
Cette année, Balélec c'est 30 concerts sur 7 scènes sur le site de l'école, en un seul soir. Beaucoup citent l'événement comme étant le plus grand festival d'un soir d'Europe. Balélec c'est aussi 19 bars (principalement tenus par des associations d'étudiants) ayant chacun leur propre ambiance bien particulière. Balélec, c'est aussi une énorme effort en matière d'écologie avec de la vaisselle compostable, des gobelets et canettes consignées, des cendriers portables distribués gratuitement aux festivaliers et des transports publics gratuits. Ces efforts débouchent sur une certification iso 14001 pour le festival.
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Chrysalis
article de KtuLulu
, publié le 12 mars 2007 à 20:35
De Julien Leclercq avec Albert Dupontel, Marie Guillard, Marthe Keller et Mélanie Thierry.
Le teaser de Chrysalis ne montre pas grand chose, mais comme les films d'anticipation gaulois sont plutôt rares...
Synopsis:
"Parce qu'il s'agit de l'assassin de sa femme, David Hoffmann, lieutenant à la police européenne, accepte de reprendre du service pour traquer un dangereux trafiquant soupçonné d'un meurtre odieux. Une enquête qui le mènera vers une clinique à la pointe de la technologie, dirigée d'une main de fer par le professeur Brügen.
Quand la vérité se loge au coeur du souvenir, la mémoire se révèle un bien précieux, objet de toutes les convoitises. Pourtant, certains souvenirs ne s'effacent jamais..."
Sortie prévue le 31 octobre 2007
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Le teaser de Chrysalis ne montre pas grand chose, mais comme les films d'anticipation gaulois sont plutôt rares...
Synopsis:
"Parce qu'il s'agit de l'assassin de sa femme, David Hoffmann, lieutenant à la police européenne, accepte de reprendre du service pour traquer un dangereux trafiquant soupçonné d'un meurtre odieux. Une enquête qui le mènera vers une clinique à la pointe de la technologie, dirigée d'une main de fer par le professeur Brügen.
Quand la vérité se loge au coeur du souvenir, la mémoire se révèle un bien précieux, objet de toutes les convoitises. Pourtant, certains souvenirs ne s'effacent jamais..."
Sortie prévue le 31 octobre 2007
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