On n'est jamais mieux servi que par soi même...
news de JustineF
, publié le 17 août 2007 à 14:54
Snake Vs. Zombie
news de CelibatMan
, publié le 16 août 2007 à 11:57
Ce n'est plus d'actualité vu que ça s'est déjà passé le 14 avril, mais il fallait que je vous parle de la deuxième édition de l'évènement organisé par le GrassHopper Studio (le studio de Suda 51, créateur entre autres de Killer 7): la soirée intitulée "Snake VS Zombies"
(rien que le nom, déjà, fait rêver).
Au programme
Première partie: Area 51:
Un show télévisé qu'on retrouvera en DVD dans le magazine référence du jeu video (mag japonais, est-il utile de le préciser) Famitsu.
Le show est animé par Suda 51 et son pote Mask Do UH, parlant des jeux video venant de l'étranger (leur étranger, pas le nôtre, hein).
Deux invités: Hifumi Kono (Clock Tower 2, Steel Battalion) du studio Nude Maker et Keiichirou Toyama (Siren series, Silent Hill 1) de Sony Computer Entertainment.
Bref, ça commence avec du gros (surtout qu'ils parlent d'American McGee Alice, un jeu culte culte culte, et montrent une preview du jeu de John Woo: Stranglehold)
Seconde partie: Wanda Vs. Ulala
(Ulala, c'est le nom de l'héroïne speakerine du jeu musical déjanté qu'est Space Channel 5)
Kazutoshi Iida, Kazunari Yonemitsu (Puyo-puyo), et d'autres plus connus comme Fumito Ueda (créateur d'Ico et de Shadow of the Colossus) de Sony Computer Entertainment et Tetsuya Mizuguchi* (Space Channel 5, Lumines) de chez Q Entertainment réunis pour parler de game development.
Troisième partie: Snake Vs Zombie
Le gros de la soirée: un talk show, animé par Suda 51 avec entre auters Jideo Kojima (est-il encore utile de présenter l'illustre créateur de Metal Gear, producteur de tous les épisodes MGS) et Shinji Mikami (créateur de Resident Evil), avant un concert de Akira Tamaoka, le compositeur et producteur de la série des Silent Hill (ceux qui connaissent les jeux imaginent le type de concert, entre pop déprimée et electro ethérée).
lien vers le site officiel
lien vers un compte rendu plus en détail, et en anglais, chez 1up.com
*En lien, une excellente interview de Tetsuya Mizuguchi faite par IdleThumbs, parlant de l'industrie du jeu video, et des media Aesthetics, entre autres. A lire.
(rien que le nom, déjà, fait rêver).
Au programme
Première partie: Area 51:
Un show télévisé qu'on retrouvera en DVD dans le magazine référence du jeu video (mag japonais, est-il utile de le préciser) Famitsu.
Le show est animé par Suda 51 et son pote Mask Do UH, parlant des jeux video venant de l'étranger (leur étranger, pas le nôtre, hein).
Deux invités: Hifumi Kono (Clock Tower 2, Steel Battalion) du studio Nude Maker et Keiichirou Toyama (Siren series, Silent Hill 1) de Sony Computer Entertainment.
Bref, ça commence avec du gros (surtout qu'ils parlent d'American McGee Alice, un jeu culte culte culte, et montrent une preview du jeu de John Woo: Stranglehold)
Seconde partie: Wanda Vs. Ulala
(Ulala, c'est le nom de l'héroïne speakerine du jeu musical déjanté qu'est Space Channel 5)
Kazutoshi Iida, Kazunari Yonemitsu (Puyo-puyo), et d'autres plus connus comme Fumito Ueda (créateur d'Ico et de Shadow of the Colossus) de Sony Computer Entertainment et Tetsuya Mizuguchi* (Space Channel 5, Lumines) de chez Q Entertainment réunis pour parler de game development.
Troisième partie: Snake Vs Zombie
Le gros de la soirée: un talk show, animé par Suda 51 avec entre auters Jideo Kojima (est-il encore utile de présenter l'illustre créateur de Metal Gear, producteur de tous les épisodes MGS) et Shinji Mikami (créateur de Resident Evil), avant un concert de Akira Tamaoka, le compositeur et producteur de la série des Silent Hill (ceux qui connaissent les jeux imaginent le type de concert, entre pop déprimée et electro ethérée).
lien vers le site officiel
lien vers un compte rendu plus en détail, et en anglais, chez 1up.com
*En lien, une excellente interview de Tetsuya Mizuguchi faite par IdleThumbs, parlant de l'industrie du jeu video, et des media Aesthetics, entre autres. A lire.
Feedback souris Logitech G5 '2007
article de CAPTN_CAVERN
, publié le 02 août 2007 à 10:45
On va tuer la Culture
article de .reprocessed
, publié le 30 juillet 2007 à 17:43
Bande de salauds! Oui, vous les internautes, toi l'anonyme caché derrière ton écran d'ordinateur, bien à l'abri à tapoter sur ton clavier... C'est quoi cette icône en forme de mule dans la barre des tâches? Que télécharges-tu? Le dernier épisode de Heroes? Le dernier cd de Gregory Lemarchal? Ou le dernier Harry Potter? Te rends tu compte de ton geste? Oui, il s'agit d'un pillage en règle de la Culture américaine, française ou anglaise. L'équivalent du pillage des pyramides et des tombeaux égyptiens il y a deux siècles.
Pire, des milliers d'emplois sont menacés en Occident à cause de tes gestes inconsidérés: producteurs, ingénieurs du son, directeurs artistiques, porteurs de gobelets de café, et euh... artistes, musiciens, et chanteurs aussi. Oui toi, tu vas tuer la Culture, à coup de liens torrents, pour t'approprier l'objet de tous tes désirs: Call of Juarez... Sais-tu la somme de travail, d'énergie, de labeur qu'il faut pour produire un objet culturel? Et puis, sais tu ce qu'est la Culture?
La Culture, trépied de la civilisation occidentaleEt ouais, rien que çà. D'après la définition de l'Unesco trouvée sur Wikipédia, "La Culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances". En fait, on peut trouver plus de 200 définitions du mot Culture.
Dans le langage courant, il s'agit d'activités qui regroupent un grand nombre de disciplines. Ainsi les livres, la musique, le cinéma, la bande dessinée et les jeux vidéos sont des biens culturels que nous consommons, à plus ou moins forte dose. On peut aussi ajouter la peinture, la sculpture, le théâtre, etc... mais ils ne se consomment pas de la même manière, et par beaucoup moins de gens, car considérés comme "élitistes". De plus ils sont moins facilement piratables, d'autant plus que la demande est moins forte.
Pour apprécier les biens culturels consommés par les français, faisons un petit instantané des quantités de ventes de livres, disques, places de cinémas, bd et jeux vidéos. Globalement en 2006, le marché de la Culture est en hausse, sauf pour la musique. La bd tire les ventes de livres vers le haut. Mais au premier trimestre 2007 les ventes biens culturels sont en baisse de 3%, à cause des ventes de musique, véritable boulet de la Culture de masse.
Chiffre d'affaire 2006 des biens culturels
1. Livres: 2,76 milliards d'euros
2. Cinéma+DVD: 2,27 milliards d'euros (évalutation)
3. Jeux vidéos: 1,8 milliards d'euros
4. Musique: 960 millions d'euros
Pourtant les oeuvres musicales les plus vendues, telles que Diam's, Fatal Bazooka, Ilona ou Crazy Frog, rivalisent en qualité avec Die Hard 4, Da Vinci Code, Harry Potter ou Les Sims, World of Warcraft, qui eux se vendent par millions de palettes! Et que dire de nos artistes franco-belgo-suisses ou autres, obligés de vendre leurs places de concert au minimum à 150 euros la place? Tout cela est de ta faute, vilain consommateur qui prétend, au nom de la liberté, pouvoir écouter ou regarder avant d'acheter... Et puis quoi encore? La Culture gratuite? L'accès à tous au patrimoine culturel? Bande d'égoïstes...
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Pire, des milliers d'emplois sont menacés en Occident à cause de tes gestes inconsidérés: producteurs, ingénieurs du son, directeurs artistiques, porteurs de gobelets de café, et euh... artistes, musiciens, et chanteurs aussi. Oui toi, tu vas tuer la Culture, à coup de liens torrents, pour t'approprier l'objet de tous tes désirs: Call of Juarez... Sais-tu la somme de travail, d'énergie, de labeur qu'il faut pour produire un objet culturel? Et puis, sais tu ce qu'est la Culture?
La Culture, trépied de la civilisation occidentaleEt ouais, rien que çà. D'après la définition de l'Unesco trouvée sur Wikipédia, "La Culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances". En fait, on peut trouver plus de 200 définitions du mot Culture.
Dans le langage courant, il s'agit d'activités qui regroupent un grand nombre de disciplines. Ainsi les livres, la musique, le cinéma, la bande dessinée et les jeux vidéos sont des biens culturels que nous consommons, à plus ou moins forte dose. On peut aussi ajouter la peinture, la sculpture, le théâtre, etc... mais ils ne se consomment pas de la même manière, et par beaucoup moins de gens, car considérés comme "élitistes". De plus ils sont moins facilement piratables, d'autant plus que la demande est moins forte.
Pour apprécier les biens culturels consommés par les français, faisons un petit instantané des quantités de ventes de livres, disques, places de cinémas, bd et jeux vidéos. Globalement en 2006, le marché de la Culture est en hausse, sauf pour la musique. La bd tire les ventes de livres vers le haut. Mais au premier trimestre 2007 les ventes biens culturels sont en baisse de 3%, à cause des ventes de musique, véritable boulet de la Culture de masse.
Chiffre d'affaire 2006 des biens culturels
1. Livres: 2,76 milliards d'euros
2. Cinéma+DVD: 2,27 milliards d'euros (évalutation)
3. Jeux vidéos: 1,8 milliards d'euros
4. Musique: 960 millions d'euros
Pourtant les oeuvres musicales les plus vendues, telles que Diam's, Fatal Bazooka, Ilona ou Crazy Frog, rivalisent en qualité avec Die Hard 4, Da Vinci Code, Harry Potter ou Les Sims, World of Warcraft, qui eux se vendent par millions de palettes! Et que dire de nos artistes franco-belgo-suisses ou autres, obligés de vendre leurs places de concert au minimum à 150 euros la place? Tout cela est de ta faute, vilain consommateur qui prétend, au nom de la liberté, pouvoir écouter ou regarder avant d'acheter... Et puis quoi encore? La Culture gratuite? L'accès à tous au patrimoine culturel? Bande d'égoïstes...
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Doh
news de Ouamdu
, publié le 28 juillet 2007 à 19:24
Attendu par les fans depuis des années, le film The Simpsons est finalement sorti mercredi en France. Pression !
Dans le premier quart d'heure, aucune trace de la trame principale, les auteurs s'étant réservé cette première partie pour enchaîner les gags plus cons les uns que les autres. J'avais pas ri autant depuis des lustres au cinéma. Après, le scénario se met en place, faisant perdre un peu de rythme mais quand même ponctué de bonne grosses loleries. Les auteurs sont restés à peu près fidèles à eux même.
"A peu près" ? Oui, parce qu'on sent bien, aussi bien dans le scénario qui reste politiquement correct (par rapport à certains épisodes bien cinglants), que dans des détails (par exemple, on a droit à Itchy et Scratchy, mais pas une goutte de sang) que le film est légèrement édulcoré pour rester vraiment familial. Pas de quoi crier au scandale, cependant. En fait, le seul regret que j'ai, c'est que même si la plupart des personnages secondaires (Barney, M. Burns...) font une apparition, ils font plus office de figurants qu'autre chose et ne sont pas vraiment intégrés à la trame de l'histoire.
Reste que "Les Simpsons" est un excellent épisode de la série et qu'en allant le voir on est sûr de passer un bon moment. Je vous invite à NE PAS regarder la bande-annonce, qui révèle un ou deux gags, afin d'en profiter à 100%.
Dans le premier quart d'heure, aucune trace de la trame principale, les auteurs s'étant réservé cette première partie pour enchaîner les gags plus cons les uns que les autres. J'avais pas ri autant depuis des lustres au cinéma. Après, le scénario se met en place, faisant perdre un peu de rythme mais quand même ponctué de bonne grosses loleries. Les auteurs sont restés à peu près fidèles à eux même.
"A peu près" ? Oui, parce qu'on sent bien, aussi bien dans le scénario qui reste politiquement correct (par rapport à certains épisodes bien cinglants), que dans des détails (par exemple, on a droit à Itchy et Scratchy, mais pas une goutte de sang) que le film est légèrement édulcoré pour rester vraiment familial. Pas de quoi crier au scandale, cependant. En fait, le seul regret que j'ai, c'est que même si la plupart des personnages secondaires (Barney, M. Burns...) font une apparition, ils font plus office de figurants qu'autre chose et ne sont pas vraiment intégrés à la trame de l'histoire.
Reste que "Les Simpsons" est un excellent épisode de la série et qu'en allant le voir on est sûr de passer un bon moment. Je vous invite à NE PAS regarder la bande-annonce, qui révèle un ou deux gags, afin d'en profiter à 100%.
Avant première "Transformers"
news de Ellendhel
, publié le 25 juillet 2007 à 11:32
Or donc, le cinéma près de chez moi proposait une avant première de "Transformers" et j'avais un bon pour une place réduite...
Petite critique, pleine de spoilers, mais il n'y a pas crime lorsque c'est pour un blockbuster.
Le début est assez correct, un Decepticon s'en prend à une base américaine au Moyen-orient, le futur héros démontre son côté neuneu, puis le gouvernement et l'état major entrent en scène, les rôles sont posés.
Bon et les robots alors ? C'est tout de même le truc intéressant du film.
L'entrée et la "découverte" de Bumblebee, la Chevrolet Camaro jaune (et première voiture de notre héros adolescent) est plutôt bien vue et pas trop mal amenée.
Les choses se gâtent après : les autres Autobots arrivent ensemble, et il faudra attendre plus de la moitié du film pour voir plusieurs Decepticon imposants (je ne tiens pas vraiement compte du bidule-radio que l'on voit à partir du début, qui fait tâche dans la distribution).
Je ne suis pas fan de la série, je l'ai même assez peu regardée, mais cette version "2007 US" me laisse un mauvais arrière-goût pour ce qui est de l'apparence des robots : on ne distingue pas assez de points communs entre la version "véhicule" et la version "robot". On pourrait même confondre les robots entre eux.
Les concepteurs ont conçu des bots à partir de milliers de petites pièces au lieu de gros blocs comme pour le dessin animé. Certes c'est plus fin mais on ne s'y retrouve pas (sans compter au passage que les gars chez Hasbro vont avoir du mal à faire des versions toys équivalentes).
La manière de filmer de M. Bay n'arrange pas les choses, la caméra bouge trop et trop vite, les transformations sont trop rapides, on ne profite de rien.
Pour l'histoire, pas de grosse suprise, vous ne vous étranglerz pas avec votre pop-corn à cause de révélations fracassantes.
Les "multiples camps" du côté des humains (armée, gouvernement, "service secret", héros adolecents et filles à gros seins, ...) sont en général pitoyables, vous pouvez dormir sans scrupule à ce moment là.
Il reste quelques petites répliques ou détails sympathiques (la devise sur le Decepticon voiture de police, la vanne sur les phéromones, ...) de temps en temps, principalement au début.
Et comme c'est un film zétazunien à gros budget on trouve bien évidemment de multiples références commerciales (Ebay, General Motors -évidemment-, Cisco, ...) et de la propagande pour l'armée américaine, la meilleure du monde. Comme d'hab' quoi.
Un bon blockbuster mais qui n'emballera pas les gens motivés par les histoires de robots (ce qui est assez con).
Petite critique, pleine de spoilers, mais il n'y a pas crime lorsque c'est pour un blockbuster.
Le début est assez correct, un Decepticon s'en prend à une base américaine au Moyen-orient, le futur héros démontre son côté neuneu, puis le gouvernement et l'état major entrent en scène, les rôles sont posés.
Bon et les robots alors ? C'est tout de même le truc intéressant du film.
L'entrée et la "découverte" de Bumblebee, la Chevrolet Camaro jaune (et première voiture de notre héros adolescent) est plutôt bien vue et pas trop mal amenée.
Les choses se gâtent après : les autres Autobots arrivent ensemble, et il faudra attendre plus de la moitié du film pour voir plusieurs Decepticon imposants (je ne tiens pas vraiement compte du bidule-radio que l'on voit à partir du début, qui fait tâche dans la distribution).
Je ne suis pas fan de la série, je l'ai même assez peu regardée, mais cette version "2007 US" me laisse un mauvais arrière-goût pour ce qui est de l'apparence des robots : on ne distingue pas assez de points communs entre la version "véhicule" et la version "robot". On pourrait même confondre les robots entre eux.
Les concepteurs ont conçu des bots à partir de milliers de petites pièces au lieu de gros blocs comme pour le dessin animé. Certes c'est plus fin mais on ne s'y retrouve pas (sans compter au passage que les gars chez Hasbro vont avoir du mal à faire des versions toys équivalentes).
La manière de filmer de M. Bay n'arrange pas les choses, la caméra bouge trop et trop vite, les transformations sont trop rapides, on ne profite de rien.
Pour l'histoire, pas de grosse suprise, vous ne vous étranglerz pas avec votre pop-corn à cause de révélations fracassantes.
Les "multiples camps" du côté des humains (armée, gouvernement, "service secret", héros adolecents et filles à gros seins, ...) sont en général pitoyables, vous pouvez dormir sans scrupule à ce moment là.
Il reste quelques petites répliques ou détails sympathiques (la devise sur le Decepticon voiture de police, la vanne sur les phéromones, ...) de temps en temps, principalement au début.
Et comme c'est un film zétazunien à gros budget on trouve bien évidemment de multiples références commerciales (Ebay, General Motors -évidemment-, Cisco, ...) et de la propagande pour l'armée américaine, la meilleure du monde. Comme d'hab' quoi.
Un bon blockbuster mais qui n'emballera pas les gens motivés par les histoires de robots (ce qui est assez con).
Here comes the fuzz
news de Ouamdu
, publié le 22 juillet 2007 à 13:29
Déjà disponible à prix bas en DVD chez les Anglais, Hot Fuzz vient juste de sortir en France au cinéma. On retrouve donc l'équipe de Shaun of the dead (Edgar Wright, Simon Pegg et Nick Frost) dans un hommage parodique aux films d'action.
"Nicholas Angel est un super flic de Londres, il déchire dans tous les domaines, faisant passer tous les autres pour des nases. Ils décident donc de le muter à Sandford, dans le trou de balle du monde, où il ne se passe rien... Jusqu'à ce qu'une série d'accidents mortels éveillent ses soupçons..."
Bien qu'un peu moins drôle, Hot Fuzz est aussi réussi que son prédécesseur, avec 28 000 références et clins d'oeil à des films purement action, le tout avec un humour bien anglais. Le film met un peu de temps à se mettre en place, mais rien n'est gâché, tout devenant utile à un moment ou à un autre.
Le scénario se paye même le luxe d'être inattendu, et, bien sûr, tout ça fini dans une fusillade tout à fait mémorable. On pourra entrevoir quelques têtes connues comme Martin Freeman (H2G2), Bill Nighy (Pirates des Caraïbes), et on raconte même que Peter Jackson et Cate Blanchett se planquent dans des personnages secondaires.
La VF a l'air particulièrement nulle à chier, je vous invite donc à le voir dans la version originale.
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"Nicholas Angel est un super flic de Londres, il déchire dans tous les domaines, faisant passer tous les autres pour des nases. Ils décident donc de le muter à Sandford, dans le trou de balle du monde, où il ne se passe rien... Jusqu'à ce qu'une série d'accidents mortels éveillent ses soupçons..."
Bien qu'un peu moins drôle, Hot Fuzz est aussi réussi que son prédécesseur, avec 28 000 références et clins d'oeil à des films purement action, le tout avec un humour bien anglais. Le film met un peu de temps à se mettre en place, mais rien n'est gâché, tout devenant utile à un moment ou à un autre.
Le scénario se paye même le luxe d'être inattendu, et, bien sûr, tout ça fini dans une fusillade tout à fait mémorable. On pourra entrevoir quelques têtes connues comme Martin Freeman (H2G2), Bill Nighy (Pirates des Caraïbes), et on raconte même que Peter Jackson et Cate Blanchett se planquent dans des personnages secondaires.
La VF a l'air particulièrement nulle à chier, je vous invite donc à le voir dans la version originale.
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Journalistes totaux
news de Gatling
, publié le 02 juillet 2007 à 21:28
Une présentatrice de la chaîne câblée américaine MSNBC a refusé d'ouvrir son journal avec la sortie de prison de la starlette Paris Hilton, estimant qu'il fallait donner la priorité à d'autres informations, telles que la guerre en Irak ou la politique américaine.
"Ecoutez, je ne vois tout simplement pas l'intérêt de parler de cette histoire, et surtout pas en ouverture du journal un jour comme aujourd'hui!", a dit la journaliste à l'antenne.
Joignant le geste à la parole, Mika Brzezinski, coprésentatrice de l'émission "Morning Joe", a déchiré le script à l'antenne, après avoir essayé en vain d'y mettre le feu. Elle a ensuite passé dans une déchiqueteuse l'exemplaire qu'un collègue lui avait tendu.
La starlette américaine Paris Hilton, incarcérée pour avoir conduit alors qu'elle était sous le coup d'une suspension de son permis de conduire, a quitté mardi sa prison californienne après y avoir passé 23 jours, au milieu d'un emballement médiatique extraordinaire.
"Ecoutez, je ne vois tout simplement pas l'intérêt de parler de cette histoire, et surtout pas en ouverture du journal un jour comme aujourd'hui!", a dit la journaliste à l'antenne.
Joignant le geste à la parole, Mika Brzezinski, coprésentatrice de l'émission "Morning Joe", a déchiré le script à l'antenne, après avoir essayé en vain d'y mettre le feu. Elle a ensuite passé dans une déchiqueteuse l'exemplaire qu'un collègue lui avait tendu.
La starlette américaine Paris Hilton, incarcérée pour avoir conduit alors qu'elle était sous le coup d'une suspension de son permis de conduire, a quitté mardi sa prison californienne après y avoir passé 23 jours, au milieu d'un emballement médiatique extraordinaire.