Monter son NAS perso avec XPenology
article de Repiemink
, publié le 29 novembre 2013 à 15:48
Après avoir débuté les NAS avec un petit DNS-320L j'ai découvert que ça pouvait être plus qu'un simple stockage réseau un peu sécurisé. Pour ma part je lui ai implanté : gestion des téléchargements, bibliothèque de zik, serveur uPnP, ...
Le hic c'est que ça m'a aussi fait vite comprendre que mon petit d-link était vraiment pas taillé pour ça. Trop mou et interface pas ultime. C'était cheap, on en a pour son argent mais pas plus.
Du coup j'ai commencé à chercher d'autres solutions. J'ai découvert qu'on pouvait faire pas mal de choses avec du matériel de récup'. J'ai donc testé freeBSD, FreeNAS, qui m'ont bien emballé au début mais qui ne répondait pas à tous mes besoins au final. Et le plus gros souci avec ces solutions c'est que quand on recherche, on fouille, on apprend plein de choses et on sait gérer son système. Le hic c'est quand on veut remettre les mains dans le cambouis 6 mois plus tard et qu'on ne se rappelle plus de rien, qu'il faut recommencer à chercher, etc...
Et voilà donc comment je suis enfin tombé sur le projet XPenology.
Le principe est simple :
- On copie un pack de fichiers sur une clé usb que l'on va dédier à son NAS. Le plus sur est de prendre une clé verrouillable. Verrouillez là après avoir mis les fichiers dessus.
- On plug la clé sur le PC qui va servir de NAS (vieille config qui traine ou la petite config bien propre et économique qu'on s'est mise au point) et on boot sur USB.
Cela va avoir pour effet de faire paraitre notre PC comme un NAS Synology.
- Ensuite sur un PC du réseau on installe un petit prog qui va scruter le réseau pour trouver le NAS. (Attention si vous n'avez pas de clé verrouillable : débranchez la clé quand le NAS est reconnu par l'assistant puis rebranchez la quand le NAS redémarre à la fin de l'install)
- Une fois le NAS trouvé on installe Disk Station Manager (DSM) sur un disque dur du NAS.
- On laisse faire, on préconfigure quelques trucs (nom de la machine, réseau, etc..) et c'est tout, ça roule.
Pour un pas à pas suivre ce tuto (Différents packs à tester en fonction de votre config y sont linkés).
J'ai fait la méthode classique mais il est possible de faire ça via une machine virtuelle. J'ai vu un mec faire ça pour avoir du multiboot pour se faire un NAS/HTPC par exemple.
Côté hardware vous pouvez maintenant débrancher écran et clavier du NAS.
Pensez à checker votre BIOS pour ne pas qu'il empêche de booter si plus rien n'est branché. (j'étais obligé de laisser écran et clavier sur mon vieil hp récupéré de test car au boot il demandait toujours d'appuyer sur F1, pas moyen de faire sauter cette connerie...)
Tant qu'on est sur le hard, après mettre décidé à partir sur cette solution je me suis monté une petite config dédiée.
Environ 200€ le NAS donc sans les disques. C'est que dalle à côté d'un vrai Syno et en plus on a le bonus de l'évolutivité.
On peut descendre le tarif en rognant sur les composants (boitier, alim non modulaire, ..) ou on peut aussi booster la conf. Perso pour mon utilisation c'est impeccable.
Celui qui voudra faire de son NAS un HTPC aura intérêt à prendre une plateforme un cran au-dessus.
Liste des configs testées par la communauté frenchy => ici
Ma base est donc constituée de:
- un "petit" boitier (Cooler Master Elite 120 Advanced)
- une carte mère mini-itx et un cpu qui ne consomme pas (ASRock EM350M1)
- un peu de ram (plus y'en a mieux c'est mais ça dépend de ce que vous ferez de votre NAS) (G.Skill RL Series RipJaws 4 Go DDR3 1066 MHz)
- une alim (Corsair CX430M 80PLUS Bronze)
Il ne reste qu'à ajouter des disques durs.
J'ai mis trois 3"1/2.
Un vieux de 160 pour le système et 2 de 1To en raid 1 (j'aimerais bien passer au raid 5 mais je verrai ça plus tard).
Au final ça donne une bonne petite machine relativement compacte et silencieuse, parfaite pour l'endroit où elle sera posée, dans un coin de la cuisine. Oui on est High-tech jusque dans la cuisine chez les Mink.
Bon voilà on a un NAS opérationnel. Voyons voir maintenant la gueule de DSM.
Sur ma config j'ai pu lui mettre la version 4.2 build 3202 repack (me semble que les mecs sont en train de bosser sur la 4.3).
On accède au bureau via une machine du réseau et un explorateur Internet. Ca ressemble à ça (DSM 4.2 donc):
On a donc une interface super propre. En fait je n'ai pas grand chose à vous dire là-dessus tellement c'est simple.
Juste quelques screens pour la forme:
Panneau de config
Gestion des disques
Gestion des plugins
Les plugins que j'utilise:
# Téléchargement => Pyload. Tuto épinglé dans le forum FR de XPenology.
Bonus : Configurer Flashgot pour envoyer les liens directement vers Pyload => tuto (Il vous faudra router un port du pc, pour ça utiliser cette commande, tirée de cette page, via l'appli "exéctuer" de Windows, à adapter à votre conf : netsh interface portproxy add v4tov4 listenport=9666 connectaddress=<nasip> connectport=9666 listenaddress=127.0.0.1)
# Pour les torrents => Transmission (intégré de base)
# Musique => Subsonic/Madsonic. A installer manuellement via le gestionnaire. Package dispo ici. Ayant acheté une licence j'accède à toute ma zik en streaming depuis mon smartphone et ça c'est pretty cool.
# Serveur multimédia => pour le moment j'utilise le serveur multimédia intégré.
J'ai essayé Plex mais j'avais plein de fichiers non reconnus via uPnP. Enfin ça devait venir de moi car y'avait pas de raison, j'ai juste pas cherché plus loin pour le moment.
Ceci dit si vous ne faites pas de votre NAS un HTPC alors PLEX n'a que l'avantage de télécharger automatiquement les jaquettes/infos. On a forcément pas la belle interface bling bling.
Pour ceux que ça intéresse il y aussi des plugins comme SABnzbd, Sickbeard, Couchpotato, etc...
Y'en a pour tout le monde :)
Bon je pense avoir fait le tour.
Au final tout ça tourne comme un charme. La conf' pompe 45W au repos (pas encore testé en charge mais ça doit pas être violent).
Mission complete !
Merci au projet et au forum XPenology ;)
Le hic c'est que ça m'a aussi fait vite comprendre que mon petit d-link était vraiment pas taillé pour ça. Trop mou et interface pas ultime. C'était cheap, on en a pour son argent mais pas plus.
Du coup j'ai commencé à chercher d'autres solutions. J'ai découvert qu'on pouvait faire pas mal de choses avec du matériel de récup'. J'ai donc testé freeBSD, FreeNAS, qui m'ont bien emballé au début mais qui ne répondait pas à tous mes besoins au final. Et le plus gros souci avec ces solutions c'est que quand on recherche, on fouille, on apprend plein de choses et on sait gérer son système. Le hic c'est quand on veut remettre les mains dans le cambouis 6 mois plus tard et qu'on ne se rappelle plus de rien, qu'il faut recommencer à chercher, etc...
Et voilà donc comment je suis enfin tombé sur le projet XPenology.
Le principe est simple :
- On copie un pack de fichiers sur une clé usb que l'on va dédier à son NAS. Le plus sur est de prendre une clé verrouillable. Verrouillez là après avoir mis les fichiers dessus.
- On plug la clé sur le PC qui va servir de NAS (vieille config qui traine ou la petite config bien propre et économique qu'on s'est mise au point) et on boot sur USB.
Cela va avoir pour effet de faire paraitre notre PC comme un NAS Synology.
- Ensuite sur un PC du réseau on installe un petit prog qui va scruter le réseau pour trouver le NAS. (Attention si vous n'avez pas de clé verrouillable : débranchez la clé quand le NAS est reconnu par l'assistant puis rebranchez la quand le NAS redémarre à la fin de l'install)
- Une fois le NAS trouvé on installe Disk Station Manager (DSM) sur un disque dur du NAS.
- On laisse faire, on préconfigure quelques trucs (nom de la machine, réseau, etc..) et c'est tout, ça roule.
Pour un pas à pas suivre ce tuto (Différents packs à tester en fonction de votre config y sont linkés).
J'ai fait la méthode classique mais il est possible de faire ça via une machine virtuelle. J'ai vu un mec faire ça pour avoir du multiboot pour se faire un NAS/HTPC par exemple.
Côté hardware vous pouvez maintenant débrancher écran et clavier du NAS.
Pensez à checker votre BIOS pour ne pas qu'il empêche de booter si plus rien n'est branché. (j'étais obligé de laisser écran et clavier sur mon vieil hp récupéré de test car au boot il demandait toujours d'appuyer sur F1, pas moyen de faire sauter cette connerie...)
Tant qu'on est sur le hard, après mettre décidé à partir sur cette solution je me suis monté une petite config dédiée.
Environ 200€ le NAS donc sans les disques. C'est que dalle à côté d'un vrai Syno et en plus on a le bonus de l'évolutivité.
On peut descendre le tarif en rognant sur les composants (boitier, alim non modulaire, ..) ou on peut aussi booster la conf. Perso pour mon utilisation c'est impeccable.
Celui qui voudra faire de son NAS un HTPC aura intérêt à prendre une plateforme un cran au-dessus.
Liste des configs testées par la communauté frenchy => ici
Ma base est donc constituée de:
- un "petit" boitier (Cooler Master Elite 120 Advanced)
- une carte mère mini-itx et un cpu qui ne consomme pas (ASRock EM350M1)
- un peu de ram (plus y'en a mieux c'est mais ça dépend de ce que vous ferez de votre NAS) (G.Skill RL Series RipJaws 4 Go DDR3 1066 MHz)
- une alim (Corsair CX430M 80PLUS Bronze)
Il ne reste qu'à ajouter des disques durs.
J'ai mis trois 3"1/2.
Un vieux de 160 pour le système et 2 de 1To en raid 1 (j'aimerais bien passer au raid 5 mais je verrai ça plus tard).
Au final ça donne une bonne petite machine relativement compacte et silencieuse, parfaite pour l'endroit où elle sera posée, dans un coin de la cuisine. Oui on est High-tech jusque dans la cuisine chez les Mink.
Bon voilà on a un NAS opérationnel. Voyons voir maintenant la gueule de DSM.
Sur ma config j'ai pu lui mettre la version 4.2 build 3202 repack (me semble que les mecs sont en train de bosser sur la 4.3).
On accède au bureau via une machine du réseau et un explorateur Internet. Ca ressemble à ça (DSM 4.2 donc):
On a donc une interface super propre. En fait je n'ai pas grand chose à vous dire là-dessus tellement c'est simple.
Juste quelques screens pour la forme:
Panneau de config
Gestion des disques
Gestion des plugins
Les plugins que j'utilise:
# Téléchargement => Pyload. Tuto épinglé dans le forum FR de XPenology.
Bonus : Configurer Flashgot pour envoyer les liens directement vers Pyload => tuto (Il vous faudra router un port du pc, pour ça utiliser cette commande, tirée de cette page, via l'appli "exéctuer" de Windows, à adapter à votre conf : netsh interface portproxy add v4tov4 listenport=9666 connectaddress=<nasip> connectport=9666 listenaddress=127.0.0.1)
# Pour les torrents => Transmission (intégré de base)
# Musique => Subsonic/Madsonic. A installer manuellement via le gestionnaire. Package dispo ici. Ayant acheté une licence j'accède à toute ma zik en streaming depuis mon smartphone et ça c'est pretty cool.
# Serveur multimédia => pour le moment j'utilise le serveur multimédia intégré.
J'ai essayé Plex mais j'avais plein de fichiers non reconnus via uPnP. Enfin ça devait venir de moi car y'avait pas de raison, j'ai juste pas cherché plus loin pour le moment.
Ceci dit si vous ne faites pas de votre NAS un HTPC alors PLEX n'a que l'avantage de télécharger automatiquement les jaquettes/infos. On a forcément pas la belle interface bling bling.
Pour ceux que ça intéresse il y aussi des plugins comme SABnzbd, Sickbeard, Couchpotato, etc...
Y'en a pour tout le monde :)
Bon je pense avoir fait le tour.
Au final tout ça tourne comme un charme. La conf' pompe 45W au repos (pas encore testé en charge mais ça doit pas être violent).
Mission complete !
Merci au projet et au forum XPenology ;)
Mass Effect
article de Gingembre
, publié le 10 mars 2008 à 19:23
Ma Xbox prenait la poussière depuis plusieurs mois, depuis la beta de TF2 en fait. Chaque soir elle pleurait, m'implorait : "Come back ! Touch my tralala !"
Alors j'ai craqué, bien aidé en cela par les énormes titres sortis à la fin de l'année.
Si je me suis éclaté comme une bête sur COD4 avant de me faire chier comme un rat mort dès le premier niveau d'Halo 3, le jeu qui m'a vraiment scotché à l'écran ces deux dernières semaines est incontestablement Mass Effect.
Sorti il y a quelques mois, le RPG de Bioware combine parfaitement RPG et action et vous embarque dans un univers et une quête épique.
Terminé ce week end, ça faisait longtemps qu'un jeu ne m'avait pas fait cet effet là : être deg d'être arrivé à la fin.
Petit debrief en forme de test...
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Alors j'ai craqué, bien aidé en cela par les énormes titres sortis à la fin de l'année.
Si je me suis éclaté comme une bête sur COD4 avant de me faire chier comme un rat mort dès le premier niveau d'Halo 3, le jeu qui m'a vraiment scotché à l'écran ces deux dernières semaines est incontestablement Mass Effect.
Sorti il y a quelques mois, le RPG de Bioware combine parfaitement RPG et action et vous embarque dans un univers et une quête épique.
Terminé ce week end, ça faisait longtemps qu'un jeu ne m'avait pas fait cet effet là : être deg d'être arrivé à la fin.
Petit debrief en forme de test...
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Opera, le Navigateur qu'Il Est Bien
article de Fixateur
, publié le 28 juin 2007 à 18:27
Il y a quelques années de cela, alors que je venais à peine d'entrer dans l'Internet Multimédia Interactif, j'avais été - comme tous les geeks influençables et pas trop aigris - pris dans la mode "IE ça pue, vive Firefox !". Changement effectué, je n'avais bien sûr pas regretté mon choix : la navigation par onglets, la page de démarrage qui ne change que si on veut qu'elle change, les add-ons tels qu'ad-block ou l'éditeur de CSS...
A l'époque, on ne parlait pas vraiment d'Opéra, puisqu'il était payant ou avait de la pub. Je l'avais brièvement testé sans conviction, puis plus brièvement encore désinstallé avec satisfaction : Firefox resterait sur mon disque dur. Et puis, il y a quelques temps (ça doit presque se compter en années maintenant...), on m'avait chaudement recommandé Opera, qui avait fait beaucoup de progrès en matière de... ben de tout, et qui était devenu gratuit sans publicité. Depuis, ce navigateur ne cesse de m'impressionner. Faisons le tour de ses qualités, histoire de convaincre les plus renards d'entre vous. Il faut un certain temps d'adaptation : moi-même je n'ai pas du tout tout découvert dès le début.
Je parlerai ici de la version 9.21, dernière en date.
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A l'époque, on ne parlait pas vraiment d'Opéra, puisqu'il était payant ou avait de la pub. Je l'avais brièvement testé sans conviction, puis plus brièvement encore désinstallé avec satisfaction : Firefox resterait sur mon disque dur. Et puis, il y a quelques temps (ça doit presque se compter en années maintenant...), on m'avait chaudement recommandé Opera, qui avait fait beaucoup de progrès en matière de... ben de tout, et qui était devenu gratuit sans publicité. Depuis, ce navigateur ne cesse de m'impressionner. Faisons le tour de ses qualités, histoire de convaincre les plus renards d'entre vous. Il faut un certain temps d'adaptation : moi-même je n'ai pas du tout tout découvert dès le début.
Je parlerai ici de la version 9.21, dernière en date.
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Supreme commander... une suprême promesse tenue.
article de __MaX__
, publié le 29 octobre 2006 à 12:49
Celà fait bien longtemps qu'on en entend parler, celà fait bien longtemps que tous les fans de TA (Total Annihilation) l'attendent et celà fait bien longtemps que l'on attendait cette beta.
La voilà sur les rails pour le plus grand bonheur de chacun et surtout vérifier si tout ce qui a été annoncé est vraiment dans ce renouveau du RTS (Real Time Strategy)...
Renouveau ai-je dit ?
Oui, mais lisez plutôt l'article si vous voulez en savoir plus.
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La voilà sur les rails pour le plus grand bonheur de chacun et surtout vérifier si tout ce qui a été annoncé est vraiment dans ce renouveau du RTS (Real Time Strategy)...
Renouveau ai-je dit ?
Oui, mais lisez plutôt l'article si vous voulez en savoir plus.
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RealWorld Remixed
article de KtuLulu
, publié le 09 octobre 2006 à 00:28
RealWorld, le label de Peter Gabriel, a organisé un concours de remixes autour d'un des titres de l'artiste, Shock The Monkey, issu de l'album sans titre n°4.
Une opération plutôt amusante qui permet non seulement de faire briller un peu plus mon alteregomondialiste préféré, mais de révéler aussi de nouveaux talents.
Douze morceaux ont finalement été retenus. Le résultat en écoute --------------------> ICI.
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Une opération plutôt amusante qui permet non seulement de faire briller un peu plus mon alteregomondialiste préféré, mais de révéler aussi de nouveaux talents.
Douze morceaux ont finalement été retenus. Le résultat en écoute --------------------> ICI.
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Oxmo Puccino & The Jazzbastards - Lipopette Bar
article de Binouze
, publié le 03 septembre 2006 à 23:52
Oxmo Puccino, rappeur depuis plus de 10 ans, fait partie de ceux qui ont compris que le rap ne pouvait pas se contenter de véhiculer les éternels clichés habituels. En effet, il sait depuis bien longtemps que s'y cantonner serait un reel gachis, aux vues des possibilités offertes par ce courrant musical. Surtout que ce serait très décevant venant de sa part, quand on considère tout ce qu'il a fait pour ce dernier, que ce soit par le biais du label anthologique timebomb ou plus "récemment" avec sa contribution au projet kourtrajmé.
Ainsi, ses textes peuvent traiter d'une multitude de thèmes : fictions mafieuses, chroniques profondes des rapports humains, chansons fantaisistes... mais dans un futur proche, c'est dans le monde du Jazz que le Lyriciste urbain exercera avec ce très attendu Lipopette Bar qui mettra également l'équipe des Jazzbastards à contribution.
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Ainsi, ses textes peuvent traiter d'une multitude de thèmes : fictions mafieuses, chroniques profondes des rapports humains, chansons fantaisistes... mais dans un futur proche, c'est dans le monde du Jazz que le Lyriciste urbain exercera avec ce très attendu Lipopette Bar qui mettra également l'équipe des Jazzbastards à contribution.
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Phantom of the Paradise
article de Ceacy
, publié le 31 août 2006 à 01:32
Le topinambour est une plante vivace de la famille des Astéracées, cultivée comme légume pour ses tubercules riches en inuline. C'est une espèce voisine du tournesol (Helianthus annuus) qui appartient au même genre.
Le nom de « topinambour » résulte de la francisation du nom d'une tribu du Brésil, les Topinamboux (Tupinambas), dont plusieurs membres furent amenés comme curiosité à Paris en 1613, ce qui conduisit Linné à croire à l'origine brésilienne de la plante, introduite en France à peu près à la même époque.
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Le nom de « topinambour » résulte de la francisation du nom d'une tribu du Brésil, les Topinamboux (Tupinambas), dont plusieurs membres furent amenés comme curiosité à Paris en 1613, ce qui conduisit Linné à croire à l'origine brésilienne de la plante, introduite en France à peu près à la même époque.
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